La basse annonce, elle déclare. Et à partir de là, Damaged Goods se déroule comme un manifeste avec un battement de fond, à parts égales entre la luxure et Lénine. Bien qu'elle ne ressemble à rien d'autre, c'est la chanson qui a lancé Gang of
Alors que Parklife était l'explosion pop technicolor de Blur, Trouble in the Message Centre est l'enseigne au néon à moitié cassée dans un coin, inquiétante, palpitante. Au milieu de leur album classique de 1994, c'est la chanson qui murmurait où le groupe se dirigeait vraiment.
Quand I Was Born For Lovin' a envahi les ondes en 1979, vous faisiez plus que simplement attirer l’attention, vous cassiez les têtes.
Certaines chansons entrent tranquillement dans une pièce. Souriant alors que le chaos se développe, Richard III défonce la porte et lance une pinte à travers le sol. Quand Supergrass a sorti cette bombe en 1997, ils avaient déjà abandonné leur image de "petits malins" de
Le riff introductif est plus un claquement qu'un son. Comme si quelqu'un actionnait un interrupteur marqué "chaos" et voyait les amplis prendre feu.
Il n'y a presque pas le temps de cligner des yeux. Le téléphone sonne, la ligne se décroche, et soudain vous y êtes — Hanging on the Telephone ne commence pas vraiment, il vous prend par surprise.
Le début tressaute. tressaillement nerveux. Une guitare qui ne cesse d'essayer de se poser mais n'arrive pas tout à fait à décider où atterrir.
Bien qu'elle ne dure que deux minutes et vingt-huit secondes, cela pourrait bien être les deux minutes et vingt-huit secondes les plus parfaites de l'histoire de la musique pop.
Dans un coin tranquille de l'éternité, nous nous sommes assis pour une conversation impossible avec John Lennon, non pas le mythe mais l'homme, pour parler de musique, de paix et du monde qu'il a laissé derrière lui.
Reptilia donne un coup de talon, grince des dents et explose en l'une des attaques rock les plus serrées et ciselées des années 2000, juste après que cette ligne de basse sinueuse s'échappe de l'ombre.
