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5 choses que vous ignoriez sur AC/DC

AC/DC a bâti un mur sonore avec de l’énergie brute et de la sueur, et pourtant, certains moments de leur histoire semblent presque irréels.

1[/eltdf_dropcaps>Ils ont enregistré un album dans un studio hanté par son propre silence
En 1980, quelques mois à peine après la mort de Bon Scott, AC/DC est entré aux Compass Point Studios, aux Bahamas, pour enregistrer *Back in Black*. L’endroit baignait dans le silence, pas dans la fête. Le matériel tombait en panne. Le mauvais temps retardait les livraisons. Les habitants évitaient le studio la nuit, affirmant qu’il était hanté. Brian Johnson, tout juste arrivé dans le groupe, a passé ses premiers jours à chanter dans le vide d’une cabine encore inachevée. L’album est devenu l’un des disques les plus vendus de tous les temps, forgé dans un mélange de deuil et d’histoires de fantômes.

2[/eltdf_dropcaps>Leur nom vient d’une machine à coudre
Malcolm et Angus Young ont aperçu les lettres « AC/DC » à l’arrière de la machine à coudre de leur sœur Margaret. L’étiquette indiquait le courant alternatif et continu. Ils ont aimé le côté percutant du sigle, et l’énergie qu’il évoquait. À l’origine, il n’avait aucune signification particulière, même si certains y ont vu plus tard une allusion à la bisexualité. Pour les frères Young, il ne signifiait qu’une chose : la puissance.

3[/eltdf_dropcaps>Angus Young porte un uniforme scolaire grâce à sa sœur
À l’époque où le groupe cherchait encore son style et ses personnages de scène, c’est Margaret Young qui a suggéré à Angus de porter son ancien uniforme scolaire sur scène. Il l’avait gardé de l’Ashfield Boys High School de Sydney. Le contraste entre cette tenue d’adolescent et son jeu de guitare frénétique a créé une image qui a marqué les esprits. Margaret a même cousu elle-même les premières versions. Ce costume est devenu emblématique, traversant les modes et les tendances.

4[/eltdf_dropcaps>Un de leurs albums a eu une édition vinyle qui prenait feu
La version australienne de *Dirty Deeds Done Dirt Cheap*, sortie en 1976, s’accompagnait d’un petit coup marketing. Un nombre limité d’exemplaires a été pressé avec une formule spéciale de vinyle qui s’est révélée hautement inflammable. Certains disques ont pris feu après avoir été laissés près d’un radiateur ou en plein soleil. Le lot a été rapidement retiré du marché. Ces vinyles sont aujourd’hui des pièces de collection, entourées de légende… et d’un soupçon de danger.

5[/eltdf_dropcaps>Ils ont un jour engagé un batteur depuis sa cellule
En 1994, Phil Rudd avait quitté le groupe et Chris Slade était passé à autre chose. AC/DC avait besoin d’un batteur pour une session en studio. Ils ont contacté Tony Currenti, un musicien qui avait joué sur leurs premiers enregistrements. Problème : il était en prison pour des délits mineurs. Le groupe a organisé une permission temporaire pour qu’il puisse enregistrer. Les prises ont été conservées. Il est retourné en détention dès le lendemain. Cet épisode est resté secret pendant des années, jusqu’à ce qu’il refasse surface dans un podcast de fans dans les années 2000.

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