Sabotage des Beastie Boys, c’est pas juste une chanson. C’est une grenade dégoupillée balancée dans une pièce pleine de costumes-cravates qui croient tout contrôler.
Accrochez-vous amis mélomanes, car Black River Boogie de Big Soul est un cocktail Molotov sonore, un concentré explosif de funk brut, de blues au charme insolent et de rock’n’roll pulsé capable de réveiller un patient dans le coma.
Dans la pénombre d'une forêt où le silence ronronne comme un larsen et où des voix perdues résonnent à travers les arbres, Riffs and Beats s'est retrouvé face à face avec Kurt Cobain, non pas l'icône gravée dans la tragédie, mais l'âme sans repos, toujours
Dans le cœur crasseux et enfumé du Londres de 1977, où le punk était moins un genre qu'un cocktail Molotov lancé sur le cadavre boursouflé du rock “n” roll, les Sex Pistols ont lâché Pretty Vacant.
Vous avez mémorisé toutes les paroles de « Disintegration » et possédez toutes les faces B, mais connaissiez-vous ces 5 faits surprenants sur The Cure ? Certains pourraient même choquer les fans les plus rndurcis.
Plongeons dans l'enfer brut et brûlant qu'est « Fuel My Fire » de L7, un morceau qui ne se contente pas de brûler. Il brûle la terre et laisse une traînée de cendres dans son sillage.
Cela commence par un grognement de guitare assez tranchant pour crever les pneus. En quelques secondes, vous n'êtes plus au Kansas ; vous roulez dans une casse post-punk avec les Clash comme chauffeurs.
Si le punk avait un bouton Eject, 12 X U serait celui-ci. D'une durée d'un peu moins de deux minutes, le dernier morceau de Wire sur Pink Flag (1977) a fait sauter les charnières.